Soutien à l'occupation des sans-fac de Nanterre

Sans-fac de Nanterre
Lancée le 01 nov. 2021

17 704

collectés avec 210 participants

Fermée depuis le 3 mai 2023

Cette cagnotte est l'ancienne cagnotte de l'occupation des sans-facs de Nanterre. L'occupation est terminée depuis mi-juillet, et l'UNEF a obtenu durant l'année l'inscription de plus de 70 étudiants. Cette cagnotte sert aujourd'hui à collecter la solidarité financière et politique la plus large vis-à-vis des militants de l’UNEF réprimés par la présidence !
Ci-dessous, le dernier tract de l'UNEF Nanterre contre la répression syndicale : 

Pour avoir réussi à inscrire plus de 70 jeunes après 9 mois d’occupation et de lutte...
Le président de l’université de Nanterre veut interdire l’UNEF !

ARRÊT DES POURSUITES !

Depuis plusieurs mois, le président de l’Université Paris-Nanterre, M. Gervais-Lambony, cherche à interdire l’UNEF Nanterre. Il fait convoquer en section disciplinaire 9 élus étudiants de l’UNEF, dont la quasi intégralité de la direction de l’UNEF Nanterre (son président, sa vice-présidente, sa secrétaire générale et son trésorier notamment) ! En attente de la décision de la section disciplinaire, il a interdit d’accès à l’université ces 9 militants. 

Pire encore, afin de se garantir une juridiction favorable, le président a demandé à ce que les militants ne soient pas jugés par leur université mais par la section disciplinaire d’une autre université : celle de Marne la Vallée ! Il s’agit d’une tentative scandaleuse de contourner les instances élues et représentatives de Nanterre car la présidence craint l’opinion des étudiants et personnels ! Elle a peur de la représentativité issue des urnes lors des dernières élections universitaires à Nanterre !

Avec cette procédure, M. Gervais-Lambony et sa présidence tentent de faire interdire et disparaitre le syndicat et son activité sur l’université de Nanterre ! C’est un niveau de répression rarement atteint à l’encontre d’une organisation syndicale étudiante.

Le président de la fac veut faire taire l’UNEF car nous combattons fermement la sélection à la fac, et que nous avons mené 9 mois d’occupation l’année dernière pour inscrire des étudiants refusés à l’université. Cette lutte contre la sélection a permis in fine l’inscription de 75 étudiants l’année dernière. Gervais-Lambony réprime pour pouvoir imposer aux étudiants de Nanterre ses plans sélectifs et de casse des droits étudiants.

Pour réprimer la lutte des sans-facs et l’activité du syndicat, la Présidence a dépensé plus de 500 000 € en vigiles privés qui ont été déployés contre les sans-facs et leurs soutiens ! Des vigiles qui empêchent aujourd’hui encore les syndicalistes de l’UNEF d’accéder librement aux bâtiments, et contrôlent l’ensemble des accès à l’université ! Des vidéos de harcèlement d’élus étudiants, d’intimidations de la part de vigiles ne manquent pas, sans la moindre réaction de la présidence pour faire cesser ces agissements.

S’opposer à la sélection et défendre le droit d’étudier n’est ni un délit, ni un crime, ni une faute disciplinaire. Les étudiants sans-facs subissent les frais d’une sélection discriminante qui exclut en premier lieu les jeunes issus des classes populaires et de l’immigration. Nous exigeons l’arrêt de toutes les poursuites contre l’UNEF, que l’interdiction d’accès cesse et que des négociations s’ouvrent afin de trouver une issue à cette mobilisation !

Ces poursuites entrainent de très nombreuses dépenses en terme de frais de justice. La solidarité financière et politique la plus large doit s’exprimer vis-à-vis des militants de l’UNEF réprimés ! L’UNEF revendique l’arrêt des poursuites et des interdictions d’accès !
___________________________________________________________________

Soutien à l'occupation des sans-fac de Nanterre !

Depuis le mercredi 27 octobre plusieurs dizaines de jeunes sans affectation à la fac et leurs soutiens occupent le bâtiment de la présidence de l'université de Nanterre pour exiger leur inscription et protester contre la sélection et le manque de places à l'université. Nous nous battons pour l'inscription des 61 sans-fac encore sans affectation et plus largement pour une université ouverte à toutes et tous !

Ceux qui payent aujourd'hui les frais de l'austérité budgétaire et du manque de places dans l'enseignement supérieur ce sont les enfants d'ouvriers et d'immigrés, ce sont les étudiants étrangers. Nous n'acceptons pas cette sélection sociale et cette société qui préfère sacrifier l'avenir de la jeunesse plutôt que de partager les richesses et permettre à tout le monde de décider de son avenir !

Pour que l'occupation tienne dans de bonnes conditions, nous avons besoin de votre soutien financier pour les courses, les produits d'hygiène, des couvertures... Toute contribution est la bienvenue pour pouvoir poursuivre notre lutte, donnez ce que vous pouvez pour aider les sans-fac à gagner !

Votre soutien est précieux pour nous aider à tenir!

Étudier est un droit, pas un privilège !

Posté le 09 sept. 2022, 19h18

Cette cagnotte est l'ancienne cagnotte de l'occupation des sans-facs de Nanterre. L'occupation est terminée depuis mi-juillet, et l'UNEF a obtenu durant l'année l'inscription de plus de 70 étudiants. Cette cagnotte sert aujourd'hui à collecter la solidarité financière et politique la plus large vis-à-vis des militants de l’UNEF réprimés par la présidence !
Ci-dessous, le dernier tract de l'UNEF Nanterre contre la répression syndicale : 

Pour avoir réussi à inscrire plus de 70 jeunes après 9 mois d’occupation et de lutte...
Le président de l’université de Nanterre veut interdire l’UNEF !

ARRÊT DES POURSUITES !

Depuis plusieurs mois, le président de l’Université Paris-Nanterre, M. Gervais-Lambony, cherche à interdire l’UNEF Nanterre. Il fait convoquer en section disciplinaire 9 élus étudiants de l’UNEF, dont la quasi intégralité de la direction de l’UNEF Nanterre (son président, sa vice-présidente, sa secrétaire générale et son trésorier notamment) ! En attente de la décision de la section disciplinaire, il a interdit d’accès à l’université ces 9 militants. 

Pire encore, afin de se garantir une juridiction favorable, le président a demandé à ce que les militants ne soient pas jugés par leur université mais par la section disciplinaire d’une autre université : celle de Marne la Vallée ! Il s’agit d’une tentative scandaleuse de contourner les instances élues et représentatives de Nanterre car la présidence craint l’opinion des étudiants et personnels ! Elle a peur de la représentativité issue des urnes lors des dernières élections universitaires à Nanterre !

Avec cette procédure, M. Gervais-Lambony et sa présidence tentent de faire interdire et disparaitre le syndicat et son activité sur l’université de Nanterre ! C’est un niveau de répression rarement atteint à l’encontre d’une organisation syndicale étudiante.

Le président de la fac veut faire taire l’UNEF car nous combattons fermement la sélection à la fac, et que nous avons mené 9 mois d’occupation l’année dernière pour inscrire des étudiants refusés à l’université. Cette lutte contre la sélection a permis in fine l’inscription de 75 étudiants l’année dernière. Gervais-Lambony réprime pour pouvoir imposer aux étudiants de Nanterre ses plans sélectifs et de casse des droits étudiants.

Pour réprimer la lutte des sans-facs et l’activité du syndicat, la Présidence a dépensé plus de 500 000 € en vigiles privés qui ont été déployés contre les sans-facs et leurs soutiens ! Des vigiles qui empêchent aujourd’hui encore les syndicalistes de l’UNEF d’accéder librement aux bâtiments, et contrôlent l’ensemble des accès à l’université ! Des vidéos de harcèlement d’élus étudiants, d’intimidations de la part de vigiles ne manquent pas, sans la moindre réaction de la présidence pour faire cesser ces agissements.

S’opposer à la sélection et défendre le droit d’étudier n’est ni un délit, ni un crime, ni une faute disciplinaire. Les étudiants sans-facs subissent les frais d’une sélection discriminante qui exclut en premier lieu les jeunes issus des classes populaires et de l’immigration. Nous exigeons l’arrêt de toutes les poursuites contre l’UNEF, que l’interdiction d’accès cesse et que des négociations s’ouvrent afin de trouver une issue à cette mobilisation !

Ces poursuites entrainent de très nombreuses dépenses en terme de frais de justice. La solidarité financière et politique la plus large doit s’exprimer vis-à-vis des militants de l’UNEF réprimés ! L’UNEF revendique l’arrêt des poursuites et des interdictions d’accès !

Cagnotte clôturée avec 211 participants
+ 30 €
Le 21 oct. 2022
par un anonyme
De tout cœur avec vous!
+ 30 €
Le 02 oct. 2022
par Rutschlé Marc
+ 15 €
Le 01 oct. 2022
par Ld
+ 15 €
Le 24 sept. 2022
par Juan Diego Arévalo
+ 9 €
Le 20 sept. 2022
par Hajar
+ 6 €
Le 20 sept. 2022
par Sam

Veuillez patienter...
Afficher plus de participants
logo cotizup

Qui refuse encore de bons cookies 🍪 en ?

Nous utilisons des cookies afin d'améliorer votre expérience de visite, vous proposer des contenus personnalisés, développer nos services et mesurer notre audience. Vous pouvez accepter ou refuser ces cookies.

logo cotizup